Simplement vedette, cycle 1 (Série de 3 émissions)

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Description

Simplement vedette, cycle 1 (Série de 3 émissions)
L’être humain derrière la vedette nous ressemble… plus qu’on ne pourrait l’imaginer! Marie-Claude Barrette est à la barre d’une série documentaire en trois épisodes, qui met en lumière les valeurs familiales des personnalités de la scène publique québécoise. À travers différents thèmes, dont l’adoption et la conciliation travail-famille, on comprend mieux comment les comédiens, politiciens et chanteurs invités arrivent à maintenir l’équilibre entre la simplicité de leurs valeurs au quotidien et une carrière sous les feux de la rampe.

Trinôme 2011
(Secondaire à général)
Sous-titrage codé pour malentendants
3 émissions x 45 minutes
Achat: DVD 139$ l’émission, série de trois, 399$.
Droits de projection publique inclus



Une mère pour toujours (Série: Simplement vedette, cycle 1)
Qu’elle soit fusionnelle ou conflictuelle, la relation qu’on entretient avec une mère est rarement tiède et banale. Complicité, rivalité, affection… Qu’est-ce qui caractérise une saine relation entre une mère et son enfant? Être une mère relève-t-il de l’instinct? Que nous reste-t-il de cette relation singulière une fois devenus grands? Marie-Claude Barrette rencontre quatre vedettes qui ont accepté de parler de la mère, la leur ou celle qu’elles ont été. Joe Bocan nous explique son choix de mettre sa carrière en veilleuse pour s’occuper de ses enfants. Liza Frulla, elle, a fait le choix contraire, et c’est sa propre mère qui s’est occupée de son fils. Geneviève St-Germain évoque les rapports houleux avec sa propre mère et le fait qu’elle n’a jamais voulu avoir d’enfant. Finalement, Jean Airoldi nous parle de sa mère, veuve à 24 ans avec quatre enfants, et de l’amour et du respect qu’il lui vouait.


Mon histoire d’adoption (Série: Simplement vedette, cycle 1)
Les couples se tournent vers l’adoption pour des raisons fort différentes. Pour les enfants adoptés, peu importe qu’ils viennent d’à côté ou du bout du monde, leur parcours est inévitablement marquant. Marie-Claude Barrette rencontre trois personnalités qui ont eu recours à l’adoption et une qui a été adoptée. Elle aborde au passage les thèmes essentiels de l’identité, de l’attachement et du déracinement. La comédienne Pascale Montpetit, devenue mère à 48 ans, partage avec nous plusieurs archives personnelles du moment où elle a adopté sa petite fille et des sentiments ambivalents qui l’ont envahie. Quant à la championne olympique Nathalie Lambert, elle a dû faire le deuil  » de la bedaine  » et accepter que l’adoption était, pour elle, la seule manière de devenir mère. Aujourd’hui, elle constate que peu importe la manière dont les enfants entrent dans notre vie, la maternité se vit ensuite de la même manière. Pour l’animatrice France Beaudoin, l’adoption était un rêve d’enfance. Quelques mois après l’arrivée de Juliette, sa petite fille d’origine chinoise, la vie lui réserve une surprise: elle est enceinte naturellement! Finalement, Marie-Claude rencontre aussi l’animatrice Isabelle Racicot et ses deux frères, qui ont tous été adoptés.


Concilier travail et famille (Série: Simplement vedette, cycle 1)
Pour les parents, la conciliation entre le travail et la famille tient souvent du miracle. La fatigue, la culpabilité, le souci de performer au travail, le désir de réussir l’éducation de ses enfants sont tous des sentiments contradictoires qui peuvent apporter beaucoup de tension au sein de la famille et du couple. L’auteure Kim Thuy, l’auteure Marcia Pilote ainsi que l’animatrice Saskia Thuot et son conjoint, le comédien Pierre-Alexandre Fortin, témoignent à ce sujet. Même si les défis sont différents pour chaque famille, le constat est le même pour tous: la perfection ne peut être au rendez-vous. Pour Kim, mère de deux enfants, dont un autiste, le réseau familial est d’une importance cruciale pour arriver à tenir le coup. Pour Saskia et Pierre-Alexandre, c’est souvent le couple qui est sacrifié. Pour Marcia, la conciliation travail-famille, ce n’est pas juste une question de gestion d’horaire, c’est une philosophie de vie. Pour la respecter, elle a dû renoncer à un certain confort matériel et à une carrière plus intéressante.