Dessous de votre assiette, Les (Série)

UGS : Série Les dessous de votre assiette (Série 8 x 46 min) Catégorie :

Description

Dessous de votre assiette, Les (Série)
Série de 8 titres diffusée dernièrement à l’antenne de Canal Vie. On se préoccupe de plus en plus de ce qui se cache dans notre assiette. Pour vous éclairer , nous vous offrons Les dessous de votre assiette dont les réponses pourraient vous surprendre!On est ce qu’on mange”, dit-on, mais savez-vous ce que vous mangez? Geneviève O’Gleman mène l’enquête.

Trinôme, 2009
(Secondaire à Général)
8 émissions x 46 min
Achat: DVD 99$ l’émission, série de 8 émissions DVD 700$
Droits de projection publique inclus



Boissons énergisantes et thé vert (Série: Les dessous de votre assiette)        
Un désir de potion magique

La croissance phénoménale du marché des boissons énergisantes et la popularité du thé vert représentent deux exemples d’une tendance de fond dans le nouveau monde des aliments fonctionnels.

Les consommateurs espèrent des potions magiques, des solutions faciles pour résoudre des problèmes pourtant complexes. Les boissons énergisantes sont-elles dangereuses? Adolescents, parents et médecins commencent à s’en inquiéter. Et que dire du thé vert, accommodé à toutes les sauces? Geneviève O’Gleman, nutritionniste, mène l’enquête.
Les boissons énergisantes sont sorties de l’ombre en 1987 avec le Red Bull. Depuis, des centaines de boissons énergisantes sont apparues sur ce marché en pleine effervescence. Mais avant de laisser ces boissons devenir aussi banales que les boissons gazeuses, avons-nous posé toutes les questions sur leur sécurité?

Que savons-nous des ingrédients qu’elles contiennent? Pour Diane Lamarre, pharmacienne, les vertus associées aux ingrédients de ces boissons énergisantes, dont la taurine, s’appuient sur des études incomplètes. Et les preuves de leur efficacité de leurs bienfaits, sont rares. Pourquoi ces boissons sont-elles permises? Et qui visent-elles?

Serions-nous tous à la recherche de solutions miracles, même dans une simple bouteille de thé glacé? Le thé vert est en passe de devenir pour les adultes assagis, aussi vertueux que la taurine pour d’autres. Les fabricants en profitent-ils pour récupérer une aussi forte tendance? Et qu’en est-il du plaisir?

Trinôme, 2009
(Secondaire à Général)
46 minutes
Achat: DVD 99$ l’émission, série de 8 émissions DVD 700$
Droits de projection publique inclus



Bouffe institutionnelle, La (Série: Les dessous de notre assiette)
La nourriture est-elle un soin?

La malnutrition et la dénutrition sont à notre porte. Selon certaines études, près de 60% des patients hospitalisés vivent une détérioration de leur état nutritionnel pendant leur séjour. Les signes sont multiples: perte de poids, système immunitaire affaibli, augmentation des complications post-opératoires. Mangeons-nous si mal dans les hôpitaux et dans les centres de soins prolongés? La nourriture “publique”, tout comme celle servie en prison, est-elle un droit, une composante essentielle de la réhabilitation, ou une dépense à compresser? Geneviève O’Gleman mène l’enquête.

Faut-il investir massivement dans les budgets des services alimentaires publics? Chaque dollar investi dans les services alimentaires du réseau de la santé du Québec, permet d’en épargner cinq en soins. Comment nous comparons-nous aux autres provinces canadiennes? Le guide alimentaire canadien est-il une référence utile lorsque les besoins nutritionnels changent et doivent être adaptés à la condition physique des patients hébergés? Nos spécialistes s’interrogent.

La nourriture institutionnelle tente de se réinventer, et quelques initiatives intéressantes sont mises de l’avant. Les “babyboomers” vieillissent et composent une part de plus en plus grande de la clientèle du réseau de la santé. Cette génération a connu un parcours alimentaire riche, diversifié, et informé. Ces derniers contribueront-ils à faire vraiment changer les choses?

Trinôme, 2009
(Secondaire à Général)
46 minutes
Achat: DVD 99$ l’émission, série de 8 émissions DVD 700$
Droits de projection publique inclus



Eau en bouteille, L’ (Série: Dessous de votre assiette, Les)
Eau potable

L’eau, richesse nautrelle, est aussi la source de santé par excellence. Les professionnels en la matière, recommandent d’en boire huit verres par jour, et nous adoptons de plus en plus cette habitude dans notre hygiène de vie. Mais quel type d’eau buvons-nous? À qui appartient-elle? Avons-nous la conscience tranquille lorsque nous emportons dans notre sac une bouteille d’eau provenant du robinet? Geneviève O’Gleman, nutritionniste, mène l’enquête.

Chaque Canadien boit en moyenne 66 litres d’eau en bouteille chaque année. Par semaine, cela représente l’équivalent d’une bouteille de grand format. L’offre d’eau en bouteille se bonifie et se raffine. Selon les experts, celle du robinet ne deviendrait qu’une eau destinée au lavage, à la toilette et à la cuisine. Mais à quel prix? L’eau embouteillée peut, dans certains cas, être près de 3000 fois plus chère que celle du robinet.

Existe-t-il des différences fondamentales entre toutes ces eaux? À la base, non. Est-ce le goût, la pureté du produit, ou nos inquiétudes qui nous font opter pour l’eau en bouteille? Sommes-nous par le fait même sur le point de générer une crise de déchets qui prendrait la même ampleur que celle des sacs en plastique? Nous serons peut-être bientôt tous propriétaires d’un élément essentiel à la vie. En tirons-nous collectivement tous les bénéfices?

Trinôme, 2009
(Secondaire à Général)
46 minutes
Achat: DVD 99$ l’émission, série de 8 émissions DVD 700$
Droits de projection publique inclus



Les logos santé (Série: Dessous de votre assiette, Les)
Plus compliqués que les panneaux de stationnement…

Depuis quelques années, afin d’attirer notre attention, des logos de toutes sortes se sont ajoutés aux listes d’ingrédients et aux tableaux de valeurs nutritives des emballages. Mais que veulent-ils dire vraiment? Et face à une telle profusion d’informations, ces logos sont-ils vraiment nécessaires? Geneviève O’Gleman, nutritionniste, mène l’enquête. Chacun des sept programmes de “logos santé” au Canada se base sur des critères nutritionnels différents. Il est impossible de comparer ces programmes entre eux, tout comme si nous tentions de comparer des pommes à des oranges.

Comment notre oeil décodera-t-il un emballage? Les logos sont-ils d’autres éléments stratégiques de vente? Avons-nous besoin d’un logo universel? Le logo santé, unique, indépendant et impartial n’est pas encore né. Nous avons beaucoup de chemin à parcourir avant de trouver un logo santé qui nous simplifierait la vie. Alors, en attendant, il faut lire les étiquettes, sans oublier que les meilleurs produits sont ceux qui ont subi peu de transformation. Et pour comprendre cela, un tableau de valeurs nutritives n’est pas vraiment nécessaire!

Trinôme, 2009
(Secondaire à Général)
46 minutes
Achat: DVD 99$ l’émission, série de 8 émissions DVD 700$
Droits de projection publique inclus



Manger bio (Série: Les dessous de notre assiette)                      
“Le bio n’est plus grano…”

Manger bio est peut-être la voie de l’avenir: santé, environnement, économie, mode de vie. La demande pour les produits de l’agroalimentaire bio est en forte croissance, le potentiel de développement est énorme et nous possédons les outils pour nous y mettre. En exigeant qualité et santé en quantité dans notre assiette, est-ce que nos bonnes intentions sont contradictoires ou paradoxales devant les valeurs qui sous-tendent ce type de production? Où s’en va l’agriculture biologique? Geneviève O’Gleman, nutritionniste, mène l’enquête.

Devons-nous avoir un fermier de famille? Dans cet univers réglementé, les producteurs québécois se cherchent une place sur nos tablettes. Mais comprenons-nous vraiment pourquoi un aliment est biologique?

Un poivron suremballé incarne-t-il les grands principes du biologique? Qu’en est-il d’un produit qui a été transporté sur 6000 km avant de se retrouver sur nos tables?
Un produit biologique est-il nécessairement “santé”? Ketchup, croustilles et biscuits biologiques sont au menu. Est-ce une panacée ou une ligne droite vers une crise cardiaque… bio?

La certification biologique est un gage de rigueur, mais elle est lourde à porter pour les producteurs. Le droit de nourrir et de produire s’accompagne d’une grande responsabilité: celle d’offrir des aliments qui n’affecteront pas la santé à long terme. Plusieurs producteurs et transformateurs relèvent le défi, à leur façon, et d’autres voies côtoient l’agriculture biologique. Car, avant tout, l’avenir se bâtit sur des valeurs citoyennes et sur une vision saine de l’avenir.

Trinôme, 2009
(Secondaire à Général)
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Sel et additifs (Série: Les dessous de votre assiette)
“Accros” au sel

Vous pensiez que surveiller le sucre et le gras, c’était suffisant? Saviez-vous que le sel se cache dans les aliments sucrés? La quntité de sel que nous consommons à notre insu peut paraître surprenante. Mais plus encore, c’est notre façon de percevoir le goût des aliments, d’être mis en appétit par leur apparence, et d’être rassurés sur leur qualité, qui justifieraient notre amour pour le sel et pour les additifs alimentaires. Les aliments transformés sont sur la sellette, mais quelle est la part de responsabilité de l’industrie alimentaire? Geneviève O’Gleman, nutritionniste, mène l’enquête.

Le sel est essentiel à la vie. Mais pourquoi en consommons-nous autant? Geneviève rencontre des scientifiques qui explorent le cerveau humain et notre goût pour le sel, et qui décortiquent recettes et emballages. Mais il n’y a pas que le sel qui se retrouve en grande quantité sur les étiquettes. Quatre mille additifs sont approuvés par Santé Canada. Face à un tel choix, l’industrie et les consommateurs peuvent-ils se simplifier la vie… et l’étiquette?
Les medecins sonnent l’alarme et les experts, dont certains sont confrontés directement par les industriels, émettent leurs commentaires. Geneviève explore la chimie du sel et analyse avec eux les stratégies commerciales des grands fabricants. Et que penser des additifs alimentaires? Sont-ils vraiment sécuritaires?

On ne se fait pas prier pour manger du sel, et l’industrie l’a compris. Sel et additifs alimentaires sont utiles et omniprésents, mais sont-ils vraiment nécessaires?

Trinôme, 2009
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Sucre que l’on boit, Le (Série: Les dessous de votre assiette)
Bonbon liquide

Devant une épidémie mondiale d’obésité et de diabète, les sucres concentrés dans les jus et les boissons gazeuses sont sur la sellette. Ces boissons sucrées demeurent pourtant omniprésentes et les portions augmentent de plus en plus. Devons-nous nous sentir coupables de boire ces boissons gazeuses? Faut-il se tourner vers les édulcorants, malgré la méfiance qu’ils suscitent? Geneviève O’Gleman, nutritionniste, mène l’enquête.

Combien de sucre buvons-nous vraiment? Verres de jus, “piscines” de boissons gazeuses, barbotines offertes dans les cafétérias scolaires, le sucre liquide est partout et il est présenté dans des formats qui grossissent sans cesse. Geneviève rencontre des consommateurs et évalue avec eux la quantité de sucre ingérée dans une journée. Les médecins sont alarmés et les experts soumettent leurs commentaires.

Avec eux, Geneviève décortique la chimie du sucre et analyse les stratégies commerciales des grands fabricants. Les édulcorants sont-ils une panacée? Certainement pas pour tout le monde, selon nos experts qui font taire quelques légendes urbaines. Nous ne nous faisons pas prier pour manger du sucre. Et l’industrie l’a compris. Nous sommes un peu les victimes consentantes de notre amour inné du sucre. Il faut prendre conscience de la quantité que nous consommons et choisir nos petits plaisirs!

Trinôme, 2009
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Produits du terroir (Série: Les dessous de votre assiette)  
Le terroir à l’épicerie

Les produits artisanaux sont de plus en plus à la mode. Initiée par des chefs audacieux et visionnaires, cette vague de fond donne un élan certain à toute la gastronomie québécoise. Les consommateurs veulent avoir la certitude que ce qu’ils achètent est authentique.

Même des commerçants aguerris reçoivent de faux produits artisanaux. Lire l’étiquette semble être une solution, mais au nom de l’artisanat et de son authenticité, que sommes-nous prêts à manger? Geneviève O’Gleman, nutritionniste, mène l’enquête.

Les Québécois recherchent de plus en plus les produits fins pour une table bien garnie. Beaucoup de chemin a été parcouru depuis notre pain tranché, la viande en boîte et le fromage “orange” en tranches individuelles. Mais est-ce suffisant? Savons-nous reconnaître ce qui est fait ici? Et, est-ce une bonne nouvelle pour les industriels qui profitent de notre engouement pour des produits à valeur ajoutée? Est-il possible de concilier la production artisanale et la production industrielle?

Le terroir québécois est-il une nécessité ou un luxe? En nous réappropriant une gastronomie basée sur des produits riches en savoir-faire, en tant que consommateurs, nous reprennons contact avec les producteurs-artisans. Notre menu exige maintenant, la protection des traditions, l’innovation, la ténacité et surtout, une très grande qualité des produits originaux!

Trinôme, 2009
(Secondaire à Général)
46 minutes
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