Description
Bouffe ou malbouffe? (Série)
Au Québec, 20 millions de repas sont servis dans les écoles. Aussi, on découvrait, lors d’une étude récente menée dans 74 écoles publiques du Canada, que 93 % d’entre elles proposaient des menus avec pizzas et hot dogs. Dans cette série documentaire en six épisodes, le jeune chef Louis-François Marcotte et la nutritionniste Geneviève O’Gleman mènent une véritable enquête à la Polyvalente de St-Bruno afin de s’attaquer de front au problème de la malbouffe dans les écoles. Ils interrogent des nutritionnistes, des chercheurs, des représentantes des commissions scolaires et différents paliers du gouvernement pour tenter de comprendre et peut-être agir pour réussir un véritable changement des habitudes alimentaires. Le tout, dans l’espoir de sortir la malbouffe de l’école. Au Canada, le taux de surpoids et d’obésité a presque triplé chez les enfants et ados canadiens ces 20 dernières années. On estime à 25 % la proportion d’enfants et d’ados obèses au pays.
Trinôme Inter, 2007
(Primaire à Général)
43 minutes x 6 épisodes
Achat: DVD 89$ l’émission, série DVD 499$
Droits de projection publique inclus
De bonnes idées ailleurs… (Série: Bouffe ou malbouffe?)
Louis-François et Geneviève se rendent à Stratford et New York pour voir comment leurs écoles s’en tirent au niveau alimentaire. Résultat: le programme d’éducation de New York, le New York School Food, sert 850,000 repas dans 1,400 écoles à 1,101,000 étudiants par jour. C’est le plus “gros” service alimentaire après les Forces armées américaines! On dit qu’aux États-Unis, c’est le règne de la malbouffe partout. Et pourtant, c’est à New York qu’on trouve le meilleur programme contre la malbouffe dans les écoles. Louis est allé à la source pour s’inspirer d’un “success story” à l’américaine!
Trinôme Inter, 2007
(Primaire à Général)
43 minutes
Achat: DVD 89$ l’émission, série DVD 499$
Droits de projection publique inclus
Nos cuisinières vont à l’école (Série: Bouffe ou malbouffe?)
Louis-François veut retirer la poutine de la Polyvalente du Mont-Bruno et offrir plutôt un bar à sandwichs santé. Selon lui, les aides-cuisinières sont ancrées dans leurs habitudes et les techniques de travail sont déficientes. En plus, la préparation de plusieurs mets, dont les légumes, est insatisfaisante. Il leur propose une formation à l’Institut de tourisme et d’hôtellerie du Québec où il a étudié. Louis-François se demande si elles accepteront un stage après leurs heures de travail, et même si elles se lèvent tôt. Geneviève et Louis-François, qui pensent avoir tout vu, se rendent à ville Mont-Royal pour prendre un autobus qui fait la navette chaque midi entre une école secondaire et un centre commercial dont les restaurants de junk food affichent des spéciaux étudiants. C’est l’école qui paie la navette!
Trinôme Inter, 2007
(Primaire à Général)
43 minutes
Achat: DVD 89$ l’émission, série DVD 499$
Droits de projection publique inclus
La malbouffe, y en a ou pas? (Série: Bouffe ou malbouffe?)
Louis-François Marcotte visite une cafétéria d’une école secondaire et découvre de la malbouffe, Il fait appel à la nutritionniste Geneviève O’Gleman qui dénonce depuis plusieurs années la malbouffe dans les médias. Et l’enquête commence… Elle les mènera à travers le Québec jusque dans les bureaux des fonctionnaires en charge d’une politique alimentaire nationale… qui n’existe pas! Et la vérité est à ce point “delicate” à révéler que plusieurs demandes de visite ont été interdites par des écoles à l’équipe de Bouffe ou malbouffe qui a dû y entrer à l’aide d’une caméra cachée. Des commissions scolaires et des écoles n’ont pas de politique alimentaire, des frites et de la poutine sont servies même si elles sont interdites, la majorité des cafétérias est gérée par des concessionnaires privés qui sont en fait des multinationales, la santé ne fait pas partie du programme éducatif de nos écoles secondaires, etc… Dès le premier épisode, une école secondaire a accepté que Louis-François observe la cuisine. Mais il se demandera vite s’il obtiendra carte blanche pour changer les choses…
Trinôme Inter, 2007
(Primaire à Général)
43 minutes
Achat: DVD 89$ l’émission, série DVD 499$
Droits de projection publique inclus
Des petits qui deviendront grands (Série: Bouffe ou malbouffe?)
Après être entré dans les écoles secondaires à travers le Québec, est-ce qu’on trouve de la malbouffe dans les CPE, les garderies privées et les écoles primaires? Le plan d’action gouvernemental de prévention des problèmes de poids de 2006, qui n’est toujours pas appliqué, propose les CPE et garderies comme porte d’entrée aux bonnes habitudes alimentaires. Selon l’enquête de Geneviève O’Gleman de 2006, après avoir contacté 100 CPE à travers le Québec, seulement 30 ont accepté de soumettre leurs menus d’un mois! 50% des CPE servent de la malbouffe sous forme de frites, fritures, charcuteries ou autres aliments peu nutritifs. Le marketing alimentaire conçu pour les enfants est l’une des causes grandissantes de la malbouffe aujourd’hui. Une avocate spécialisée dans les droits des consommateurs nous montre comment veiller au grain… Pendant ce temps, Louis-François continue de préparer de nouvelles recettes pour changer les habitudes des jeunes. Mais il a des contraintes de budget. Il fait aussi face à une inquiétude: les élèves choisiront-ils son plat?
Trinôme Inter, 2007
(Primaire à Général)
43 minutes
Achat: DVD 89$ l’émission, série DVD 499$
Droits de projection publique inclus
Les racines de la malbouffe (Série: Bouffe ou malbouffe?)
Habitudes alimentaires des 12-16 ans:
– 1 ado sur 2 consomme des friandises, croustilles, boissons gazeuses plus d’une fois par jour.
– 1 ado sur 10 se nourrit d’aliments de restauration rapide 3 fois ou plus par semaine.
– 2 jeunes sur 3 ne mangent pas les 5 portions quotidiennes de fruits et légumes recommandés.
– Les hot-dogs et hamburgers figurent au menu 2 fois par semaine pour 2 jeunes sur 3.
– 4 ados sur 5 consomment des frites au moins une fois par semaine et le tiers en mangent plus de 3 fois par semaine.
Louis-François Marcotte découvre que la malbouffe a envahi les cafétérias des écoles secondaires plus qu’il ne l’imaginait. Avec la nutritionniste Geneviève O’Gleman, il poursuit son enquête. Mais l’équipe de Bouffe et malbouffe doit toujours dissimuler une caméra cachée pour entrer dans certaines écoles parce que des demandes de visite ont encore été interdites. Des commissions scolaires ont une politique alimentaire mais ne la font pas appliquer, des concessionnaires privés qui gèrent la majorité des cafétérias scolaires affirment qu’ils n’ont pas le choix de servir de la malbouffe parce que ce sont les écoles qui l’exigent. Des nutritionnistes, qui ont appuyé sur la sonnette d’alarme pendant plus de 10 ans, mais que l’on écoute jamais, dénoncent la situation parce qu’elle est devenue épidémique! La direction de l’école-pilote où Louis-François est entré au premier épisode lui a offert carte blanche. Mais il constate que le repas “qui sort le plus” est la poutine, les élèves ont accès à un comptoir de friandises à coté de la cafétéria, la malbouffe entraîne des répercussions physiques réelles chez les jeunes. Que faire pour changer les choses?
Trinôme Inter, 2007
(Primaire à Général)
43 minutes
Achat: DVD 89$ l’émission, série DVD 499$
Droits de projection publique inclus
La malbouffe, on peut s’en sortir! (Série: Bouffe ou malbouffe?)
Dans ce dernier épisode, Louis-Philippe et Geneviève concluent leur enquête sur la malbouffe qui a duré six semaines. Ils apprennent encore beaucoup de choses, entre autres que selon l’étude de Ludwig, Peterson & Gortmaker de 2001, le risque d’obésité augmente de 60% après chaque portion de boisson gazeuse consommée dans une journée, que Selon l’étude Food Habits of Canadians de Jabobs-Starkey de 2001 sur les ados, 33% de leur apport quotidien en énergie provient des croustilles, frites, friandises et autres aliments gras ou sucrés, et enfin, ils constatent qu’alors que les écoles veulent proposer un menu plus santé dans les cafétérias, 3 écoles sur 4 de la région de Montréal sont situées à moins de 1 km d’un restaurant rapide. Ce type de restauration est encore plus présent dans les milieux défavorisés. Le pire cas montre que 67 restaurants rapides sont à proximité d’une seule école. Aussi, Geneviève visite une école secondaire qui a décidé de prendre en main son virage santé! Mais l’école n’avait aucune idée des obstacles à traverser pour recommencer à zéro. Louis, pour sa part, rencontre la responsable de la Polyvalente Mont-Bruno pour lui suggérer son bar à sandwiches. “Ce que j’espère le plus, c’est que les jeunes aiment ça. S’ils l’adoptent, le bar pourrait revenir l’an prochain. Alors, j’aurai réussi à réduire une partie de la poutine”. Enfin, une équipe d’un collège privé a su comment trouver un concessionnaire qui a banni la malbouffe. Elle nous apprend quelles “recettes” il faut appliquer. La guerre contre les concessionnaires est-elle commencée?
Trinôme Inter, 2007
(Primaire à Général)
43 minutes
Achat: DVD 89$ l’émission, série DVD 499$
Droits de projection publique inclus